Pour beaucoup de citoyen·ne·s, la crise actuelle du coronavirus représente une situation de grand stress psychique. Outre la peur du virus lui-même, une grande partie de la population active est confrontée à d’énormes défis professionnels. Autant les élèves que le corps enseignant ne savent pas comment les choses vont aller de l’avant. Dans les soins médicaux, le personnel atteint ses limites. Les restrictions imposées à la vie sociale compliquent encore la situation. Pas de soirée Jass, pas de football, pas de poignée de main. Et il ne s’agit là que d’un petit éventail des facteurs de stress ayant résulté de la crise du coronavirus.
L’université de Bâle lance une vaste étude à l’échelle nationale intitulée « Swiss Corona Stress Study ». Son objectif est autant d’identifier les facteurs de risques que les facteurs de protections liés au bien-être psychique.
Il s’agit d’une enquête en ligne anonyme qui prend environs 15 minutes à remplir.